Lorsque j’étais enfant, les rencontres avec ma grand-mère – « Bonne-Maman » – étaient toujours d’une grande richesse. Je me sentais écouté et respecté. Cette femme avait la capacité de valoriser mes petits progrès. « Ludovic, tu as réussis de belles choses, tu as de belles qualités, je suis certaine que tu apporteras beaucoup aux autres. » Elle prenait du temps pour me raconter la vie de personnes ayant consacré leur existence aux autres : l’abbé Pierre, le père Gilbert, Mère Térésa… Je me sentais pleinement exister et j’avais envie, en la quittant, de réaliser de grandes choses.

En étant satisfaits, nous devenons en effet plus réceptifs aux autres, nous nous ouvrons à leur besoin et à leur ressenti. Nous nous permettons d’offrir notre potentiel de création à l’humanité, et nous ressentons alors au plus profond de nous, la joie d’apporter aux autres notre contribution.

Quand nous avons beaucoup reçu, nous nous sentons libres d’exprimer nos sentiments, en étant valorisés, confiants, nous nous épanouissons.

Et vous, valorisez-vous vos proches dès que vous le pouvez ?

Bonne journée et bon week-end,
Ludovic

Je ne m'intéresse qu'aux qualités des gens. J'ai moi-même des défauts, comment me permettre de juger ceux des autres ? (Gandhi)

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